Concepts clés
Les utilitaristes de l’acte mettent l’accent sur les effets de leurs actions individuelles (par exemple, l’assassinat du président John F. Kennedy par Lee Harvey Oswald ), tandis que les utilitaristes de règles se concentrent sur les effets des types d’actions (comme tuer ou voler) et comment les gérer en termes de règles et de lois.
Le plus grand bien pour le plus grand nombre
Contrairement aux déontologues, les utilitaristes rejettent les ordres ou les ordres donnés par des chefs religieux ou politiques. Au lieu de cela, l’utilitarisme est considéré comme une forme de conséquentialisme car ce sont les résultats d’actions, de lois ou de politiques individuelles, etc. qui déterminent si quelque chose est bien ou mal. Les partisans soutiennent que le choix qui mène aux meilleurs résultats globaux ou à l’utilité maximisée est le meilleur.
Les fins justifient les moyens
L’utilitarisme peut être pensé en termes de dicton, « les fins justifier les moyens. » De cette façon, les moyens ne sont pas aussi importants que le résultat final.
Forces et avantages de cette approche
Il y a plusieurs avantages à ce type d’approche.
- Relativement simple à appliquer
- Évite l’exigence de croyances antérieures; donc peut-être accepté dans toutes les cultures et religions
- Le bonheur et l’utilité sont au centre des préoccupations.
Faiblesses et critiques de cette approche
- Incertain de connaître pleinement les conséquences d’une action; les conséquences sont imprévisibles
- Ignore le devoir
- Ignore les motifs et l’intégrité personnelle
- Certains soutiennent que les approches utilitaristes peuvent ne pas répondre correctement aux préoccupations de justice pour la population minoritaire